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UNEP-LES ENTREPRISES DU PAYSAGE : Découvrez le palmarès 2014 des villes les plus vertes de France !

thumb_Catherine-Muller-UNEP« Quelles sont les villes les plus vertes de France ? En apparence anodine, cette question est en réalité essentielle : dans un monde où l’urbanisation galopante grignote sur les campagnes et les espaces naturels, les Français aspirent à des cités verdoyantes. Ils sont 7 sur 10 à rechercher, en priorité, la proximité d’un espace vert lorsqu’ils emménagent. Et 9 sur 10 assurent « ne pas pouvoir se passer du contact avec le végétal » dans leur vie quotidienne.

En réponse à ces attentes, un certain nombre de villes de grande taille se rêvent aujourd’hui en « éco-cités ». Mais qu’en est-il réellement ? C’est la question à laquelle nous répondons à travers ce Palmarès 2014 des villes les plus vertes de France. Notre évaluation s’appuie sur l’analyse de plus de 1 500 données extensives, allant de la part du budget communal dédiée aux aménagements paysagers, en passant par l’existence d’un plan « biodiversité » à l’échelle de la ville ou encore l’incitation au compost.

Nous n’avons pas poussé l’analyse jusqu’à faire une comparaison européenne, mais un rapide aperçu montre que celle-ci n’aurait sans doute pas été à l’avantage de la France : les Berlinois disposent chacun de 21 m² d’espace vert en moyenne, et même 68 m² pour les Madrilènes, alors que les Parisiens doivent se contenter de 14 m² à peine… Mieux : à Stockholm 95% des habitants disposent d’un espace vert à moins de 300 m de chez eux !

La place accordée aux aménagements paysagers est un sujet brûlant à l’approche des municipales. C’est un enjeu sociétal autant qu’environnemental : les espaces verts ne sont plus seulement des éléments décoratifs. Ils sont devenus de véritables biens publics, facteurs de bien-être et de lien social. Les études montrent que ce sont également des investissements utiles pour améliorer la santé de nos concitoyens.

Pour devenir véritablement durable et répondre aux problématiques de son temps (cadre de vie, gestion des déchets, pollution, préservation de la biodiversité…), la ville du XXIe siècle ne doit plus opposer béton et végétal. La réintroduction de la nature en ville est une formidable opportunité que doivent saisir les élus. Ils doivent changer leur regard sur les espaces verts : les voir comme un investissement, non comme une dépense, et faire du végétal la trame même de l’aménagement urbain, dès la phase de conception. Pour voir la vie en rose, pensons nos villes en vert ! »

Catherine Muller, Présidente de l’Unep – les entreprises du paysage

Sur l’ensemble des critères observés, les villes se situant au nord d’un axe Bordeaux-Lyon sont les plus engagées, qu’il s’agisse de développer le patrimoine vert urbain, de biodiversité ou de valorisation. La région Pays de la Loire décroche la palme, s’arrogeant les 2 premières villes du classement : Angers et Nantes.

Angers, Limoges et Brest sont les villes qui offrent le plus grand potentiel de verdure à leurs habitants. Elles se distinguent en particulier par leurs infrastructures vertes remarquables : à Angers, 300 hectares d’espaces verts en continu (Parcs St Nicolas, Balzac et Lac de Maine), à Limoges 700 hectares d’espaces naturels (boisement et prairie) et à Brest, la Rade du port et sa ceinture verte et bleue de plus de 4 000 hectares. En moyenne, les grandes villes françaises abritent 11 arbres par hectare (mais seulement 0,2 arbre par habitant…) et 31 m² d’espaces verts par habitant.

Patrimoine vert : une richesse méconnue des grandes villes de France

Selon l’enquête Unep-Ipsos 2013, 7 Français sur 10 choisissent leur lieu de vie en fonction de la présence d’espaces verts à proximité. Ils n’ont pas tort : la densité d’espaces verts par habitant est extrêmement variable selon les villes. Elle s’échelonne de 3 à 60 m² par habitant (et même 200 m² pour Besançon, record de France). Les villes les moins bien loties sont généralement situées dans les régions méridionales. Les infrastructures vertes sont devenues un véritable credo pour les métropoles, qui multiplient les trames vertes et bleues et valorisent leurs berges, comme à Lyon.

Les grandes villes du pourtour parisien (Boulogne-Billancourt, Courbevoie, Créteil…) compensent quant à elle leur faible densité d’espaces verts, liée aux contraintes spatiales et foncières de la proximité avec la capitale, par un nombre d’arbres supérieur à la moyenne. En revanche la plupart des villes interrogées se sont montrées peu attentives à leur patrimoine d’arbres classés, à l’exception notable de Limoges (365 arbres classés), Dijon (324) et Paris (222).

Le « vert en ville », une question de santé publique

Les études scientifiques produites depuis l’an 2000 ont remis sur le devant de la scène l’impact positif des espaces verts sur la santé, tant sur le plan physiologique (prévention des santés fragiles), que sur le plan psychologique (stress et bien-être). L’augmentation de l’activité physique liée à la présence d’espaces verts fait baisser la mortalité chez les personnes de milieux défavorisés, grâce à une diminution de la fréquence des maladies circulatoires.

De manière générale, les populations qui bénéficient d’espaces naturels dans un rayon d’1 km se déclarent « plus en forme » et les taux de dépression sont plus faibles. Les espaces verts sont également au cœur des relations sociales : c’est autour d’eux que la vie de quartier s’organise. 3 Français sur 4 fréquentent régulièrement les espaces verts de leur commune. La moitié d’entre eux y recherchent une source de bien-être et de détente. Mais les activités en lien avec les espaces verts ne s’arrêtent pas là : terrain de jeux pour les enfants, lieu de pratique du sport, promenade du chien ou même espace privilégié du pique-nique entre amis : l’espace vert est le carrefour des citadins modernes.

Les 10 villes les plus investies dans le développement et l’entretien de leur patrimoine végétal :

1. ANGERS
2. LYON
3. STRASBOURG
4. LIMOGES
5. VILLEURBANNE
6. AMIENS
7. BORDEAUX
8. NANTES
9. REIMS
10. RENNES / TOURCOING

4 indicateurs :

• taux d'investissement (budget « création d’espaces verts » / budget annuel de la ville)
• budget "espaces verts" / habitant (création + entretien)
• développement des toitures végétales
• conseiller municipal dédié

Angers, Lyon et Strasbourg sont les 3 villes ayant la politique d’investissement en faveur des espaces verts la plus dynamique, avec respectivement 5%, 2,6% et 2,5% du budget municipal global consacrés chaque année à la création/aménagement de nouveaux espaces paysagers.

En moyenne, les 50 plus grandes villes françaises dépensent 47 € par habitant pour l’entretien et la création de leurs espaces verts. A cet égard une ville comme Montpellier, par exemple, est pile dans la moyenne. Mais les écarts d’investissement sont sans commune mesure d’une ville à l’autre.

Le végétal : une priorité inégalement partagée au sein des 50 plus grandes villes de France

L’effort d’investissement pour créer de nouveaux espaces verts ou réaménager l’existant, varie d’un facteur x50 selon les villes. Limoges par exemple, investit 100 € par an et par habitant dans ses espaces verts, dont 25 % consacrés à l’aménagement de nouveaux espaces paysagers. C’est 2 fois plus que la moyenne nationale. Un faible investissement peut cependant se justifier pour les communes déjà bien équipées, qui se focalisent alors sur l’entretien (Nantes, Rennes, Metz).

Certaines villes innovent pour créer du vert dans un contexte de forte densité urbaine : à Lille par exemple, la commune offre une prime à ses administrés qui optent pour une toiture végétale, tandis que Rennes favorise les murs végétaux. Mais c’est Marseille qui décroche la palme avec son programme de développement des toitures végétales (plus d’1 hectare installé à ce jour).

Enfin, l’écrasante majorité des villes interrogées disposent aujourd’hui d’un élu spécifiquement dédié aux Espaces Verts, signe qu’il s’agit d’un enjeu important à leurs yeux – au moins symboliquement.

Le vert : un investissement durable soutenu par des attentes fortes

Si les villes démontrent un intérêt accru pour le végétal, les Français attendent encore davantage d’implication de la part de leurs collectivités : près d’1/3 estiment que les budgets consacrés aux espaces verts sont insuffisants et 42% se prononcent en faveur de projets ambitieux en matière d’aménagement de parcs et jardins. Cette préoccupation est d’ailleurs partagée par nos voisins européens : selon un rapport de l’OCDE paru en 2011, 12 % des Européens estiment que leur accès aux espaces verts est trop limité.

Ces chiffres illustrent la nécessité de ne pas penser la densification urbaine au détriment de la qualité du cadre de vie des citadins, et rappellent le rôle essentiel du végétal pour laisser les villes « respirer ». L’Agence Européenne de l’Environnement recommande d’ailleurs un parc ou jardin accessible à moins de 300 m de chaque habitation, comme c’est le cas à Stockholm par exemple.

Les 10 villes les plus exemplaires en matière de préservation de la biodiversité :

1. BORDEAUX
2. ANGERS
3. MARSEILLE
4. NANCY
5. METZ
6. BREST
7. VILLEURBANNE
8. NANTES
9. LYON
10. REIMS

4 indicateurs :

• inventaire faune / Flore
• plans et initiatives pour la biodiversité
• gestion différenciée et gestion écologique des arbres
• réduction des produits phytosanitaires et promotion des techniques d’entretien alternatives

Préserver le vivant en ville : un enjeu environnemental et sanitaire

L’ouverture de nouvelles zones à l’urbanisation est souvent synonyme d’artificialisation des sols et de perturbation de la biodiversité. Les jardins et espaces verts constituent les rares « havres » où plantes, insectes et animaux peuvent s’épanouir en ville… à condition qu’ils soient gérés de manière douce et qu’ils soient intégrés dans un réseau permettant aux espèces de circuler.

Incontestablement, le regard de notre société sur la biodiversité a changé : d’un sujet secondaire, elle est maintenant devenue une priorité. L’objectif est de recréer une continuité écologique à travers les villes, où il est de plus en plus fréquent de voir réapparaître des espèces sensibles. Lorsqu’on les interroge sur l’utilité des jardins et espaces verts, nos concitoyens citent désormais en priorité leurs bénéfices environnementaux et sanitaires.

La biodiversité : une préoccupation croissante pour les grandes villes de France

La plupart des villes interrogées ont pour objectif le « zéro phytosanitaire ». A cet égard, les deux enjeux les mieux intégrés sont la formation du personnel à la réduction des pesticides, et la gestion différenciée.

Si les inventaires de la faune locale sont un réflexe largement partagé (avec des initiatives très avancées à Nantes et Bordeaux), le recensement de la flore est, quant à lui, encore parcellaire.

Enfin, plus de la moitié des villes sondées possèdent un plan en faveur de la biodiversité. Dans les faits, cela se traduit souvent par la mise en place de trames vertes et bleues, mais cela peut passer également par le fleurissement des pieds de mur (Caen) voire l’installation « d’hôtels à insectes », de ruches urbaines (Paris, Bordeaux) ou de nichoirs pour oiseaux migrateurs (Créteil).

Les 10 villes championnes du traitement des déchets verts :

1. BREST
2. PARIS
3. METZ
4. NANCY
5. RENNES
6. ANGERS
7. NANTES
8. LYON
9. AMIENS
10. BORDEAUX

4 indicateurs :

• tri des déchets verts
• initiatives spécifiques (ex: incitation au compost à domicile)
• plate-forme de compostage
• revalorisation des déchets verts (paillage, méthanisation…)

- Brest, Paris et Metz sont les 3 villes ayant développé la politique de tri des déchets verts la plus poussée.
- A Paris, la technique de gestion différenciée a été éco-labellisée tandis qu’à Brest, la ville a systématisé le broyage des ligneux.
- Metz, quant à elle, s’est spécialisée dans le développement de composteurs aux pieds des immeubles collectifs.

Faire des déchets verts un atout

Dans une société menacée d’asphyxie par ses propres déchets, la question des déchets verts est devenue incontournable. Heureusement, il existe de nombreuses manières de recycler ou revaloriser ces derniers.

Récupérés, broyés, transformés sous forme de compost ou même « méthanisés » pour être utilisés comme source d’énergie, ils constituent une ressource appréciable, pour peu que collectivités et particuliers se mobilisent afin d’en optimiser la valeur.

Gestion des déchets verts : des villes qui rivalisent d’initiatives

Toutes les villes ayant répondu au questionnaire déclarent avoir mis en place un dispositif de tri des déchets verts (à différentes échelles).

Parmi les bonnes idées :

- à Brest, la distribution de composteurs aux associations et aux particuliers a donné naissance à un réseau de citoyens s’échangeant trucs et astuces ;
- à Nantes, la ville propose même des formations au compostage par un professionnel ;
- à Nancy, la ville a adapté son mobilier urbain pour « signaler » au grand public les points de collecte de manière extrêmement visuelle.

Plus de la moitié des villes du panel disposent d’une plateforme de compostage, qu’elle soit en régie privée ou publique.

En termes de revalorisation, le paillage et le compost tendent à se généraliser, en revanche la méthanisation des déchets verts est encore rare, à quelques exceptions près (Tourcoing, Montpellier).

Les 10 villes les plus dynamiques en matière de promotion des parcs et jardins :

1. ANGERS
2. NANTES
3. REIMS
4. NANCY
5. CRETEIL
6. METZ
7. TOURCOING
8. LIMOGES
9. DIJON
10. LYON

4 indicateurs :

• promotion du patrimoine vert (festivals, visites guidées, concours)
• note villes et villages fleuris
• éducation à l’environnement auprès des écoliers
• victoires du paysage

- A Angers, Nantes et Reims, la promotion des espaces verts est une priorité, que ce soit pour inciter les administrés à goûter aux plaisirs des jardins ou attirer des touristes en misant sur le patrimoine vert.
- Angers s’impose comme la véritable « capitale du paysage » en France, avec le festival Jardins d’Expression et la proximité du parc d’attraction Terra Botanica.
- Biennale de la rose et Folie des Plantes, ou Floralies à Nantes, Jardin d’Horticulture à Reims : ces villes ont compris comment faire des espaces verts un levier d’attractivité !

Célébrer le vert et éduquer les générations futures

Comme toute infrastructure publique, les parcs et jardins ont vocation à rendre un service à la communauté. Outre leurs vertus environnementales, leur utilité se mesure ainsi à l’aune de leur fréquentation.

A cet égard, des études montrent que la forme d’un parc est déterminante : en longueur il sera considéré comme un simple lieu de passage et donc moins fréquenté ; au contraire s’il forme un cercle, il donnera l’illusion d’une véritable « chambre végétale » et verra sa cote monter.

Mais la forme ne fait pas tout : les parcs et jardins les plus fréquentés sont aussi ceux qui font parler d’eux ! Jardins d’exception récompensés par des prix prestigieux, événements grand public, organisation de visites pédagogiques par les collectivités, sont autant de leviers qui permettent de célébrer l’art des jardins et de susciter l’intérêt des Français.

Certaines municipalités mettent l’accent sur l’aspect éducatif : à Créteil des potagers sont installés dans les écoles, Paris a mis en place un bus « Paris nature » et Tourcoing ouvre ses serres pédagogiques au public.

La promotion du vert dans les grandes villes de France

Le végétal est devenu un véritable axe stratégique de dynamisme et de promotion pour certaines villes, qui n’hésitent pas à organiser des festivals et multiplient les participations aux concours et manifestations nationales, telles les Victoires du Paysage. A une échelle moindre, des fêtes de quartiers, trocs de plantes et autres « parcours verts » fleurissent un peu partout.

L'appli "City gardens" permet quant à elle de repérer le parc le plus proche quand vous vous baladez à Lille, Lyon, Montpellier, Metz, Nantes, Paris et Strasbourg.

Au-delà du tourisme, la promotion passe également par la recherche (exemple : Végépolys à Angers), la mise en réseau d’acteurs sur des thèmes clés tels que la biodiversité (Reims), ou encore la signature de chartes de développement ou de préservation du patrimoine vert.

Méthodologie

L’étude « Palmarès Unep 2014 des villes les plus vertes de France » a été réalisée auprès des 50 plus grandes villes de France (liste établie selon le nombre d’habitants, recensement INSEE, chiffres 2013), entre juin et novembre 2013.

Elle s’appuie sur le traitement extensif de plus de 1500 données, collectées selon 2 sources principales : données publiques et questionnaires déclaratifs remplis par les services « Espaces Verts » des villes concernées.

Pour déterminer le classement, 5 grands critères de notation ont été établis :

1. l’importance du patrimoine vert accessible au public;
2. les efforts d’investissement de la commune en faveur du développement du végétal;
3. la préservation de la biodiversité;
4. la politique de gestion des déchets verts;
5. la promotion des parcs, jardins et espaces naturels en vue de dynamiser la vie locale ou d’attirer des touristes.

Ces critères ont été évalués à l’aune de 25 indicateurs, allant de la surface d’espaces verts à la part du budget communal dédiée aux aménagements paysagers, en passant par l’existence d’un plan « biodiversité » à l’échelle de la ville ou encore l’incitation au compost auprès des particuliers. La population et la superficie de chaque ville a été prise en compte, de manière à corriger les effets d’échelle. Le score obtenu s’entend sur une base 100

A propos de l’Unep-les entreprises du paysage :

L’Unep est la seule organisation professionnelle représentative des 28 400 entreprises du paysage reconnue par les pouvoirs publics. Ses missions consistent à défendre et promouvoir les intérêts de la profession, mais aussi à informer et aider ses adhérents (95% d’entre eux ont moins de 10 salariés) dans leur vie d’entrepreneur. Son organisation en unions régionales lui permet d’entretenir des relations de proximité avec ses adhérents.

A propos d’« Expert jardins » :

Pour répondre au besoin de vert des Français et soigner leur cadre de vie, l’Unep a créé la marque Expert Jardins®. Au menu : transparence des coûts, formation régulière des équipes, prise en compte de l’impact écologique des solutions préconisées… Plus de 2 000 professionnels à travers toute la France sont aujourd’hui engagés dans cette démarche qui place le client et la qualité au centre de leurs préoccupations.

Source : Unep

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Dernière modification le samedi, 06 janvier 2018 19:00

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